mercredi 22 septembre 2010

Manger-bouger à Osaka

Osaka, d’après les guides, c’est un peu la ville « pop and up » alors forcément on a voulu vérifier ! Nous avons fait ça dans les règles et nous avons commencé par un apéritif Japonais typique avec au programme : petit pois sautés, cacahouètes sautées, edamame (les adeptes de resto japonais connaissent) et du saké bien sûr !
Ensuite, direction Dotombori, le centre névralgique d’Osaka : ça grouille de partout et les lumières nous en mettent plein les yeux ! Conseillés par un rasta-japonais, nous sommes allés dans un club hyper animé où nous avons pu reconnaître du Rihanna et du Guetta, entre autres…







Osaka est aussi connue pour ses spécialités culinaires et en grands aventuriers que nous sommes, nous avons voulu tester !
Ci-dessous, l’Okonomyaki : imaginez un gros pancake, rajoutez du porc, des crevettes, du chou , badigeonnez le tout d’une épaisse sauce sucrée et cela donne à peu près un okonomyaki.

Ensuite il y a le Takoyaki, c'est une petite boule de pâte à crêpes avec des morceaux de poulpe, le tout cuit dans des petits moules ronds. Il se mange chaud (voir très chaud, mon palais s’en souvient) et est assaisonné d'une sauce spéciale parsemé de ciboulette.


Enfin, ce n’est pas une spécialité d’Osaka mais nous avons vécu un grand moment dans un petit restaurant spécialisé dans les Yakitoris (brochettes de viandes). Notre hôte ne comprenait rien mais alors rien à l’anglais, le menu était bien sûr entièrement en japonais mais comme nous étions déterminés à dîner dans ce resto et pas un autre, nous avons persévéré !
Nous avons d’abord essayé de lui montrer les mots dans notre lexique de poche mais c’était peine perdue car nous ne comprenions rien à ce qu’il nous répondait.  On lui a finalement fait entendre qu’il pouvait nous servir un assortiment de ce qu’il voulait.
Résultat, c’était pas mal mais on a tout de même eu le droit à une brochette de cartilage, un délice…







Ce n'est pas toujours évident de se faire comprendre et de trouver ses repères dans ce pays de fou mais c'est justement quand on se sent loin de tout (à 10 000km de la France tout de même) et que l'on est obligé d'en revenir aux bases (genre le langage des signes) qu'on aime le Japon!

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